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Parce que j'avais des pots vides

Confiture de fruits séchés

En lisant le livre « Graines & Cie » de Catherine Madani [1], je suis tombé sur une recette de confiture aux fruits secs. Je me suis immédiatement dit que je me devais de l'essayer. Comme je suis allé faire un tour au magasin bio pour acheter de quoi faire du ginger ale, j'en ai profité pour prendre aussi ce qu'il fallait pour la confiture.

Cette recette est vraiment facile à faire. Il faut couper les fruits secs (figues, dattes, raisins, abricots, pruneaux), ajouter le zeste et le jus des agrumes (citron, orange), ajouter le sucre et laisser reposer. Ensuite il y a la cuisson et la mise en pots. La seul liberté que j'ai prise a été de mixer les fruits pour avoir une consistance uniforme.

Tout le monde a apprécié la confiture et je l'ajoute à ma liste de chose à refaire. Ma maman a même demandé un pot pour accompagner son foie gras même si elle ne l'a pas goûtée.

Du pain et de la fermentation

Un verre de kvass devant les ingrédients qui le compose

Il y a quelques années, un collègue russe m'a fait découvrir le kvass. C'est une boisson fermentée à base de pain. Au premier abord, ça a l'air bizarre. À la première dégustation, ça le reste mais il y a un petit goût de « revenez-y » qui s'installe. Après la seconde dégustation, on devient un inconditionnel. En tout cas, c'est ce qui s'est passé pour moi.

À chaque fois que je passe près d'une épicerie russe, je vais en acheter pour satisfaire ce goût étrange. Autant dire que par ici, je n'en trouve pas souvent et qu'il me faille attendre les vacances bien méritées de l'autre coté de l'Atlantique.

Je me suis dit que ça ne pouvait plus durer et que je devais remédier à ce problème en brassant moi-même cette boisson inhabituelle. Je me suis donc mis en quête d'une recette que je puisse mettre en place à la maison. La diaspora russe m'a permis de trouver de nombreuses recettes en anglais car ne parlant pas un mot de russe et ne lisant absolument pas le cyrillique, ça aurait été plus compliqué. Après avoir lu attentivement ces recettes [1] [2] [3] [4] [5] [6] [7], j'ai décider de faire un peu à ma manière en piochant ce qui m'intéressait et d'expérimenter.

Pour une fois, j'ai pensé à prendre des notes pour ne pas oublier ce que j'ai fait :)

Ingrédients

  • 125 grammes de pain sec (j'ai utilisé du pain au sarrasin).

  • 2 litres d'eau.

  • ⅓ tasse de sucre brun.

  • ½ citron bio.

  • quelques raisins secs bio.

  • 5 centimètres de racine de gingembre.

  • 1 cuillère à café de levure déshydratée.

Instructions

  1. Faire griller le pain jusqu'à ce qu'il soit bien dur et bien bruni.

  2. Faire bouillir l'eau.

  3. Hors du feu, mettre le pain dans l'eau bouillante.

  4. Couvrir et laisser reposer pendant 8 heures.

  5. Filtrer puis ajouter le sucre, le citron coupé en fines tranches, les raisins secs, le gingembre et la levure.

  6. Couvrir et laisser reposer pendant 12 heures.

  7. Filtrer puis mettre en bouteille.

  8. Conserver les bouteilles au réfrigérateur pour stopper la fermentation.

  9. Déguster bien froid.

Cette recette est vraiment facile à réaliser pour un résultat très satisfaisant. J'en ai amené au bureau pour partager et il y a eu quelques volontaires pour se prêter au jeu. Le seul reproche que je fais à cette recette est que les ingrédients introduits lors de la fermentation sont jetés. Apparement, il existe une méthode pour les réutiliser mais je n'ai pas encore exploré cette voie.

F**k you, Google!

Google ! Laisse-moi faire ce que je veux !

J'essaye de me connecter à mon adresse de messagerie professionnelle et parce que tu as décidé que tu ne connaissais pas ma machine, tu me demandes de saisir un numéro de validation. Je sais très bien que tu connais ma machine, car je me suis connecté hier. Je sais très bien que la seule chose qui t'intéresse c'est de collecter mon numéro de téléphone pour pouvoir me traquer encore un peu plus. N'essaye pas de me convaincre que c'est pour la sécurité de mon compte car je sais très bien que ta priorité n'est pas la sécurité mais la collecte d'information.

Je n'ai pas vraiment besoin de me connecter à ma messagerie aujourd'hui, alors j'attendrai lundi. Je ne te donnerai pas mon numéro de téléphone car tu connais déjà trop de choses. J'avais quelques favoris dans Youtube, ils disparaitront dès lundi.

Heureusement que cet accès n'est pas critique pour moi.

Imagine que je sois obligé de devoir accéder à ma messagerie sans possibilité de recevoir un code de confirmation, je fais comment ? Imagine que je partage un compte avec ma femme mais que c'est elle qui a le téléphone, je fais comment ? N'imagine pas que ce soit des scénarios improbables. Le premier m'est arrivé aux douanes américaines il y a quelques années. Le second correspond à ma situation actuelle.

Le pire, c'est que tu n'es pas le seul à agir de cette façon !

F**K YOU, GOOGLE!

Première expérience de séchage

Le titre est un peu trompeur car ce n'est pas vraiment ma première expérience de séchage mais plutôt ma première expérience de séchage de viande. Il y a quelques années, j'avais tenté l'expérience avec des pommes, ce qui n'a rien à voir.

Il y a quelques semaines, je me suis lancé dans la réalisation de bœuf jerky. C'est du bœuf salé, assaisonné et séché. Lors de mes errances sur internet, je suis tombé sur une recette intéressante et surtout une méthode de séchage adaptée à mes moyens. Pour remettre dans le contexte, je n'ai pas de four ni de déshydrateur.

Je mets ici une traduction libre de la recette utilisée :

Ingrédients

  • 1kg de gite de bœuf

  • ½ tasse de sauce soya

  • 2 cuillères à soupe de cassonade

  • 1 cuillère à café de sel aromatisé aux oignons

  • 1 cuillère à café de poivre noir moulu

  • une pincée de flocons de piment séché

  • une cuillère à café de sauce Worcestershire

  • poivre blanc (facultatif)

  • graines de coriandre (facultatif)

Instructions

  1. Couper le bœuf en tranches de 2cm, à travers la fibre.

  2. Couper les tranches en bandes de 1,25cm.

  3. Mettre la viande dans un récipient non réactif (verre, terre ou platique).

  4. Verser la sauce soja sur la viande et ajouter le sucre, le sel, le poivre, les flocons de piment et la sauce Worcestershire.

  5. Mélanger jusqu'à ce que la viande soit complètement recouverte du mélange.

  6. Couvrir puis placer le récipient au réfrigérateur pour 8 à 12 heures afin d'extraire l'eau de la viande.

  7. Pendant cette période, remuer une ou deux fois la viande afin qu'elle s'imprègne complètement des saveurs du mélange..

  8. Sortir du réfrigérateur puis placer les bandes de bœuf sur une grille, en laissant suffisament d'espace entre chaque morceau pour que l'air puisse circuler librement.

  9. Si besoin, saupoudrer la viande d'épices.

  10. Mettre la grille dans un endroit libre d'animaux et ventilé, ça fonctionne très bien avec un ventilateur.

  11. En fonction de l'humidité, le jerky peut être prêt après 24 heures, mais il peut sécher plus longtemps sans problèmes0.

  12. Stocker le jerky dans un endroit sec, il peut être mis au réfrigérateur mais ce n'est pas nécessaire.

J'ai apporté quelques modifications à la recette originale. Je n'ai pas mis de sauce Worcestershire car je n'en avais pas. J'ai remplacé le sel aromatisé aux oignons par du sel aromatisé au céleri.

J'ai gouté la viande après 24 heures de séchage mais ce n'était pas encore assez déshydraté, alors je l'ai remise pour 12 heures de plus. Après 36 heures, les gouteurs ont été unanimes pour dire que c'était le bon moment pour stoper le processus.

Je suis vraiment content d'avoir essayé cette recette et j'ai vraiment hâte de pouvoir conserver plus de viande que ce soit par séchage, par fumage ou les deux. Par contre, mes photos laissent à désirer, mais tant que je n'ai ni pied ni boîte à lumière, je ne pourrais pas espérer faire beaucoup mieux.

Bœuf en train de sécher avant qu'il ne devienne du jerky Jerky entreposé une fois terminé

On ne peut pas tout réussir

Il y a longtemps, j'avais gouté une confiture à la banane. Je n'avais pas aimé et je n'avais jamais retenté l'expérience. Je me suis dit que c'était peut-être la confiture goutée qui n'était pas satisfaisante. Ce weekend, je me suis donc lancé dans la réalisation de ma propre confiture.

J'ai fait une grossière erreur en tentant d'utiliser des bananes congelées. En décongelant, elles ont liberé tellement d'eau que je me suis dit qu'il valait mieux les utiliser pour faire autre chose. J'ai essayé de rattraper le coup en faisant une compote. Mais ça n'a rien donné de probant, ce qui fait que malheureusement tout est parti à la poubelle.

J'ai donc fait ma confiture avec des bananes fraîches. La recette suivie est très simple et je l'ai réussie sans problèmes. Mais après avoir gouté au résultat, c'est sans appel : je n'aime pas la confiture à la banane. Je trouve que la texture est bizarre et que le goût de banane est perdu.

Heureusement, je n'avais fait que deux pots. Je me suis empressé de les offrir à des collègues. J'espère qu'ils en seront plus satisfait que moi.

J'aime les bananes mais je les utiliserai autrement. En crème glacée ou en cake, ce sont deux valeurs sures.

Qui a dit qu'on ne pouvait pas prendre un gin tonic pour le petit-déjeuner

Marmelade de citron, gingembre et gin

En cuisine, j'aime beaucoup le citron ainsi que le gingembre. J'ai déjà essayé beaucoup de recettes avec du citron. J'ai déjà essayé beaucoup de recettes avec du gingembre. Mais je n'avais jamais essayé de recette combinant les deux. Il y a quelques temps, j'ai trouvé une recette mettant en valeur ces deux ingrédients. Mais je ne l'avais pas encore testée. Depuis aujourd'hui, c'est chose faite.

Je mets ici une traduction libre de la recette :

Ingrédients

  • 1 kilogramme de citrons

  • 2 litres d'eau

  • 1¾ kilogramme de sucre

  • 2 cuillères à soupe de gingembre frais rapé

  • ⅓ tasse de gin

Marche à suivre

  1. Laver les citrons et éliminer les tiges et les imperfections.

  2. Couper les citrons en deux et retirer les pépins. Hacher grossièrement.

  3. Placer les citrons et l'eau dans un robot culinaire et hacher uniformément.

  4. Verser l'eau et les fruits dans une grande casserole. Porter à ébullition et laisser mijoter pendant 1 heure. Enlever les pépins qui remontent à la surface.

  5. Retirer du feu et incorporer le sucre jusqu'à dissolution complète. Ajoutez le gin et le gingembre.

  6. Faire bouillir en remuant de temps en temps pendant une dizaine de minutes ou jusqu'à ce que la marmelade atteigne le point de prise.

  7. Retirer la marmelade du feu et mettre en pot.

Je suis très satisfait du résultat mais malheureusement, malgré le titre aguicheur, je ne pense pas que cela remplace un gin tonic. C'est peut-être mieux comme ça :)

Tests de colle

Papillon en origami réalisé à partir d'un papier noir et bleu

Pendant mes vacances au Canada, j'ai revu un ami plieur et forcément nous avons plié, nous avons regardé des photos de modèles et nous avons échangé sur la conception de modèles, les papiers et les colles utilisées. C'est à ce moment, que je lui ai parlé de la colle pour reliure afin de remplacer la colle en aérosol pour la réalisation de papier sandwich soie-alu-soie. Il a déjà essayé pas mal de colles mais pas celle mentionnée. Comme il ne voulait pas acheter une n ième colle, je lui ai proposé de faire le test moi-même car j'en avais mais je ne l'avais jamais testée de cette manière.

Après plusieurs essais, j'ai réussi à produire une feuille utilisable, puis une seconde. Il faut vraiment prendre son temps et laisser sécher complètement la colle sur une face avant de se lancer dans la seconde. Si on ne respecte pas cette simple règle, les papiers se décollent, se déchirent voire les deux en même temps.

Pour apprécier ses qualités au pliage, je me suis plié un joli papillon qui met en valeur les deux faces du papier.

Pour une fois, je suis satisfait de la photo prise.

Premiers tests avec des suspentes de parachute

Lors de la construction de la tente de ma fille, j'ai fait des recherches sur Youtube pour trouver des explications pour réaliser mes nœuds. Je ne suis pas un grand fan de la surveillance et du profilage mis en place par Google dans ses outils, mais pour une fois, ça a été une source d'inspiration. En effet, j'ai commencé à avoir des suggestions pour des vidéos portant sur les nœuds. Certaines ont vraiment attiré mon attention et j'ai décidé de me lancer.

J'ai commencé par sélectionner un modèle de laisse pour offrir à des amis, joyeux possesseurs de chiens. C'est un modèle comportant deux nœuds, deux tresses et une épissure.

Après réception de mes fils, je me suis mis à l'ouvrage.

Le premier nœud n'a pas posé de difficulté particulière même si je l'ai recommencé une fois pour avoir un meilleur fini. Le seul vrai problème rencontré était la différence de taille de fils qui ne m'a pas permis de commencer avec une couleur d'un coté et une couleur de l'autre.

Ensuite il y a eu les deux tresses dont la seule difficulté était d'avoir un serrage constant entre les rangs pour avoir un résultat régulier.

Puis arrive l'épissure et c'est à ce moment que les vrais problèmes commencent. D'abord parce que c'est très serré, ensuite parce qu'il faut repasser dans la tresse en équilibrant les fils pour ne pas avoir un nœud déformé. Mon premier essai fonctionnait même s'il était déformé, mon second était beaucoup mieux réussi car régulier.

Enfin il y a le dernier nœud. J'ai vraiment eu des problèmes avec celui-là. Je pense que je l'ai recommencé une dizaine de fois car c'est un mélange de tressage et de nœud. Mais avec mon entêtement, j'ai persévéré et réussi à le finir.

Voici mon résultat aprés quelques heures de travail et de belles douleurs dans les mains :

Laisse réalisée à partir de suspentes de parachute

Les fils blancs sélectionnés ont la particularité de briller dans le noir. J'ai essayé en vain de prendre une photo correcte mais sans trépied, c'est presque mission impossible. Un jour, quand j'aurai les moyens, je me ferai ce petit plaisir.

Même si le résultat n'est pas aussi parfait que celui de la vidéo, je suis assez satisfait du résultat considérant que c'est mon premier test. Je ne sais pas s'il y en aura d'autres de sitôt mais seul l'avenir nous le dira.

Dans mon processus d'apprentissage de cette nouvelle technique, j'ai découvert comment fixer mon fil à mon aiguille bien trop tard. Une fois que j'ai réussi à faire ça, j'ai été beaucoup plus efficace et surtout, je me suis moins fait mal aux mains. J'aurais du prendre plus mon temps au début pour gagner en efficacité.

Réparer pour ne pas jeter

Nous vivons dans une société qui encourage la consommation à outrance. C'est quelque chose que je n'approuve pas, c'est pourquoi j'essaye de faire coïncider mes actions avec mes idées. Souvent, ce n'est pas évident. Parfois, c'est malheureusement impossible.

Il y a quelques jours, nous avons eu une guirlande de LED USB qui a rendu l'âme suite à un choc (physique et non pas électrique) sur le cable. En fait, la soudure entre le cable et le connecteur a cédé car la construction est de mauvaise qualité. Le cable utilisé est extrêmement fin et il n'est pas protégé des chocs.

J'ai ouvert la prise afin d'évaluer si c'était réparable. Après analyse, il me semblait qu'il ne fallait faire qu'une soudure à l'étain pour reconnecter l'ensemble. Je me suis lancé ce midi pendant ma pause, mais ça n'a pas été de tout repos. Je n'avais pas soudé depuis près de 25 ans et mes souvenirs n'étaient pas très bons car j'avais fait explosé un condensateur en le connectant à l'envers. Après de vaines tentatives, j'ai appelé à l'aide un de mes collègues qui s'y connais plus que moi. Ses conseils ont portés leurs fruits car j'ai réussi à souder le connecteur.

Au moment de rebrancher, l'angoisse monte. Vais-je faire sauter les plombs et empêcher tout le monde de travailler ? En fait, rien de tout ça, la guirlande ne s'est tout simplement pas allumée. C'est à ce moment que j'ai réalisé que j'avais probablement soudé le cable à l'envers. J'ai recommencé ce soir en inversant les fils et cette fois, la guirlande s'est allumée.

J'ai apprécié cette expérience et me donne envie de donner vie à des idées que j'ai depuis plus ou moins longtemps. Par contre, il faudra bien que je me souvienne de vérifier la polarité des composants que je soude pour ne pas avoir de surprises !

Les résultats sont tombés

Les résultats des olympiades sont tombés. Je suis arrivé 104 sur 138. Ce n'est pas fantastique mais je suis content d'avoir participé. J'ai quand même quelques modèles qui ont été plutôt bien notés et sans surprise, il s'agit des tesselations. Il ne me reste plus qu'à améliorer mes papiers, mes pliages, mes modelages et ma photo. Bref, les pistes sont nombreuses et le travail ne manquera pas.

Pour penser à autre chose, j'ai profité du weekend pour expérimenter avec le savon. Suite à une demande de madame, je me suis lancé dans la fabrication de shampoing en barre.

J'ai donc commencé par rechercher des recettes intéressantes sur internet. Je suis tombé sur celle-ci, celle-ci ou encore celle-ci. À la lecture de ces recettes, je me suis rendu compte que le shampoing n'est qu'un savon. Ce qui le différentie, c'est les huiles utilisées qui nourriront ou assècheront le cuir chevelu et le cheveu.

J'ai donc décider de partir sur la recette suivante :

  • 486 grammes de gras de bœuf

  • 344 grammes d'huile de coco

  • 100 grammes d'huile d'olive

  • 70 grammes d'huile de ricin

  • 330 grammes d'eau

  • 145 grammes de soude (NaOH)

  • 26,4 grammes d'huile essentielle de géranium

Voici le résultat obtenu, une belle brique blanche.

Brique de savon fraichement démoulée

Je suis satisfait de mon résultat même s'il reste quelques imperfections.

En réalisant cette brique de savon, je me suis intérrogé sur mon matériel. Il y a quelques points que je peux améliorer pour me faciliter la vie.

Récipient pour mesurer la soude solide

En ce moment, j'utilise un sac en plastique pour la congélation pour contenir les billes de soude. L'ennui est qu'avec la combinaison de l'électricité statique et de la fermeture du sac, je n'arrive pas à récupérer la totalité de la soude pesée. Je pourrais utiliser un récipient en verre mais la plage de pesée étant très faible, je ne peux pas avoir de tare importante. Il faut que je trouve quelque chose d'autre.

Récipient pour la soude liquide

En ce moment, j'utilise un pot à cornichon qui est plus haut que large. Ce qui fait que ce n'est pas très pratique pour mélanger le mélange d'eau et de soude. Il faut que j'utilise un pot plus large pour rendre le processus plus facile. Ça permettra également au mélange de refroidir plus rapidement grace à la surface de contact plus importante. Idéalement, il faudrait également avoir un support pour le thermomètre pour qu'il ne se balade pas dans la solution.

Séchoir

En ce moment, j'utilise une boîte à chaussures dans laquelle j'empile les savons les uns sur les autres. Ce n'est pas un rangement très efficace car pour atteindre les couches basses, je suis obligé de bouger les couches hautes. De plus la taille de la boîte n'est pas adaptée aux savons que je produis, ce qui m'oblige à perdre beaucoup d'espace. Il faut que je trouve ou fasse une boîte adaptée à mon usage, idéalement avec plusieurs étages pour pouvoir y stocker plusieurs lots.

En bref, il reste beaucoup de place à l'amélioration.