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Pochettes à billets

Pochettes à billets avec fermeture éclair

Je possède quelques devises pour régler mes achats dans les pays que je visite régulièrement. Avant je les conservais dans des enveloppes en papier ou des sacs en plastique, mais ce n'était ni très pratique ni très durable, surtout quand il y a des pièces. J'ai donc imaginé me coudre une pochette en tissu épais et de la fermer par une fermeture éclair.

Avant de commencer, j'ai fait des recherches sur les dimensions maximales des billets que je vais utiliser. Le plus long est le billet 100 dollars américains avec une longueur de 155.95mm [1] et le plus large est le billet de 50 euros avec une largeur de 77mm [2]. À ces dimensions, il a fallu ajouter la dimension des coutures, la dimension de la fermeture éclair et l'espace nécessaire pour pouvoir utiliser la pochette confortablement.

Il y a quelques semaines, je suis allé faire un tour chez ma maman pour profiter de sa machine à coudre et en peu de temps j'ai eu ma première pochette. De retour à la maison, elle a eu tellement de succès qu'on m'en a commandé 2 de plus. En retournant dimanche passé chez ma maman, j'ai de nouveau utilisé la machine à coudre et j'ai presque industrialisé mes différentes étapes.

Je suis vraiment satisfait du résultat obtenu et des progrès que j'ai fait dans l'utilisation de la machine. Je peux maintenant l'utiliser avec succès sans supervision et je peux m'imaginer attaquer des projets un peu plus conséquents.

Pliage de tissu

Pliage de tissu

En 2007, j'avais découvert les pliages de tissu de Chris K. Palmer en visitant l'exposition « Origami Now! » lors d'un voyage dans le Massachusetts. C'est impressionnant de voir ces motifs géométriques réalisés en utilisant de la soie comme médium plutôt que du papier. J'ai tout de suite été fasciné par ses réalisations.

Quelques années plus tard, son livre « Shadowfold: Surprisingly Easy-to-Make Geometric Designs in Fabric » [1] a été édité. Sans surprise, je me le suis procuré lors d'une convention de Origami USA à New-York City.

Depuis toutes ces années, il prenait la poussière dans mon étagère car je n'avais pas accès à une machine à coudre. J'avoue que les modèles présentés m'intimidait aussi un peu.

Et puis j'ai commencé à faire de la couture l'année passée [2] chez ma maman. Je n'avais plus d'excuse pour ne pas me lancer.

Je me suis donc lancé dans l'aventure en me donnant pour objectif de l'offrir lors de l'anniversaire de ma maman. Ça me laissait quand même quelques mois pour mener à bien ce projet. J'ai découpé un carré dans un reste de la tente que j'ai fabriqué pour ma fille. Puis je lui ai ajouté un ourlet avant de marquer l'emplacement des nœuds. Ensuite, je l'ai laissé dans cet état inachevé jusqu'il y a peu.

J'ai du m'y remettre car l'échéance approchait et que c'est toujours plaisant de mettre un terme à un projet. C'est à ce moment que je me suis rendu compte que j'avais marqué le mauvais coté du tissu et que mon ourlet n'était pas très bien fait. J'ai donc recommencé mon marquage avant de plier ce modèle, puis de lui donner un bon coup de fer à repasser. Comme le titre du livre le mentionne, le motif géométrique a été étonnamment facile à mettre en place. La mise en forme est longue mais je n'ai pas rencontré de difficulté particulière. Peut-être que ma longue expérience de l'origami et mon expérience naissante de couture m'ont aidé. En tout cas, c'est très encourageant et ça m'a donné envie d'en faire d'autres.

Kim qui ? Non. Kimchi !

Kimchi, fermentation en cours

Ce weekend a été bien occupé en cuisine ! J'ai fait quelques préparations pour avoir quelques repas d'avance. Mais je ne détaillerai pas ici tout ce que j'ai fait mais uniquement mon test de kimchi.

Le kimchi est du chou fermenté originaire de Corée. Il est agrémenté de daïkon, oignon, ciboule, ail, gingembre, sauce de poisson et de piment. Il est lacto-fermenté à la manière de la choucroute. Il est servi en accompagnement de tous les repas.

J'ai choisi cette recette qui utilise de la pomme de terre pour remplacer la farine de riz gluant utilisée traditionnellement. D'une part parce que j'aime les pommes de terre et d'autre part parce que je ne voulais pas acheter de la farine uniquement pour cette recette. Je l'ai un peu modifiée car je n'ai pas trouvé ni la poire asiatique, ni les crevettes fermentées. Mais comme les recettes que j'ai lues lors de mes recherches n'étaient pas unanimes sur ces ingrédients, je me suis dit que ça irait.

Il est possible de consommer le kimchi dès qu'il est fait [1], comme il est possible d'attendre quelques jours pour que les saveurs de la lacto-fermentation se développent. J'ai goûté avant de mettre en bocaux et c'est déjà très bon. J'ai hâte de voir la fermentation commencer et encore plus d'y goûter.

Vinification en cours

Gelée et pâte de pommes

Il y a quelques semaines, j'avais cueilli quelques pommes [1] pour pouvoir faire du vin. J'ai commencé par préparer un moût avant de le mettre à fermenter. J'ai tiré les leçons de mes expériences précédentes et j'ai réussi à avoir le résultat attendu au premier test. Heureusement d'ailleurs car il n'y avait plus de pommes à portée sur les pommiers de mon verger sauvage. J'ai ensuite placé tout ça dans la dame jeanne avant de l'entreposer dans ma salle de bain. C'est l'endroit le plus approprié car il y fait noir en permanence. J'espère qu'il n'y aura pas trop de variations de température pour le bien-être de mes levures. Pour l'instant, elles ont l'air de bien s'y sentir car après deux semaines de fermentation, elles continuent à prospérer. J'espère que le résultat sera aussi bon que la première fois.

Après avoir prélevé les pommes nécessaires pour cette réalisation, il me restait encore trois kilos de pommes. J'ai donc entrepris de faire de la gelée et de la pâte de fruit. Pour cela, j'ai commencé par extraire le jus avec l'extracteur de jus emprunté à ma maman pour l'occasion. Une fois le jus extrait, il faut récupérer la pulpe et enlever tout ce qui ne doit pas se retrouver dans la pâte. Pour cela, j'ai utilisé mon épépineuse récupérée il y a quelques années sur freecycle.

Ensuite, il ne reste plus qu'à réaliser les cuissons. Ma pâte de fruit est vraiment au point par contre j'ai vraiment du mal avec la gelée. Cette fois, la gelée est un peu trop cuite, ce qui la rend un peu trop solide. J'hésite entre m'entêter à essayer de faire des gelées ou me résigner à ne faire que des confitures.

Prêt pour la vinification

Matériel et ingrédients pour le vin de pomme

Il y a quelques années, j'avais essayé de faire du vin de pomme. J'avais eu quelques difficultés à démarrer la vinification à cause de l'apparition non désirée de moississures [1]. J'ai quand même laissé la chance aux levures de travailler jusqu'à la fin de la fermentation car je n'avais pas grand chose à perdre. Contre toute attente, le vin réalisé était vraiment excellent. J'ai même quelques collègues qui m'ont demandé si je ne pouvais pas leur en vendre quelques bouteilles.

Cette année, j'ai décidé de récidiver. Comme c'est la période des pommes, je voulais être prêt. J'ai acheté le matériel manquant la semaine passée [2], j'ai emprunté une dame jeanne à mon beau-père qui me l'a apportée ce midi, je me suis imprimé un outil d'extraction de barbotteur en début de semaine et je suis allé cueillir dix kilos de pommes sauvages ce soir.

J'espère que pour cette cuvée, je n'aurai pas autant de soucis. En tout cas, il me tarde de commencer !

Modèle 3D de l'extracteur à barbotteur

L'outil d'extraction de barbotteur permet de pousser sur le barbotteur à travers le bouchon pour pouvoir le déloger sans le casser. Le bouchon en caoutchouc serre très fortement le barbotteur afin de ne laisser échapper de l'air qu'à travers ce dernier. À cause de cela, l'étape de démontage est délicate car les efforts appliqués fragilisent le barbotteur et finissent par le briser. J'espère que cet outil très simple permettra d'éviter ça. Si cet outil vous est utile, voici le fichier STL qui vous permettra de l'imprimer.

C'est presque l'automne

Gelée et pâte de pommes, mûres et sureau

Techniquement, l'automne n'est pas encore arrivé, mais certains jours, ça y ressemble vraiment. Il fait frais le matin, ça se réchauffe lentement jusqu'à faire vraiment chaud en fin d'après midi. J'aime cette période de l'année, même s'il est difficile de s'habiller adéquatement, car elle est annonciatrice du début de la récolte de fruits sauvages, de la préparation de confitures délicieuses et autres plaisirs.

Je suis parti faire une cueillette avec l'idée de ramener beaucoup de sureau afin de faire quelques pots de gelée et de la pâte de fruit. Mais l'état de la flore en a décidé autrement. Cette année encore, il n'y avait pas tellement de sureau disponible. Par contre, j'ai trouvé beaucoup de pommes et de mûres. Ce sera donc un mélange de pommes, de mûres et d'un peu de sureau.

Finalement, j'ai réussi à faire ma gelée et ma pâte de fruit, mais pas avec ceux imaginés avant d'aller cueillir. Je suis très satisfait de la pâte de fruit, sa texture et son goût son vraiment au point. Par contre, j'ai encore du mal avec la cuisson des gelées. Cette fois encore, elle est encore trop liquide. Il va falloir que je trouve un moyen pour obtenir la consistence voulue.

Lors de ma cueillette, j'ai fait du repérage pour les prochains fruits à récolter. Je pense que je vais retourner chercher des pommes car il y en avait vraiment beaucoup. Mais je pense qu'il ne faudra pas trop tarder pour y aller. J'ai vu que les récoltes à venir de prunelle et de cynorrhodon seront abondantes si je ne me fais pas doubler par les oiseaux. Par contre, je ne sais pas si j'arriverai à récolter suffisament d'aubépine pour en faire quelque chose.

Déclencheur fait maison (suite et fin)

Télécommande pour mon appareil photo

Il y a quelques temps, j'avais réalisé le montage électronique pour réaliser un déclencheur pour mon appareil photo. J'avais rencontré des problèmes avec la réalisation du boitier contenant ce montage. J'avais laissé le projet en l'état en attendant de trouver une solution alternative. Hier, j'y ai apporté la touche finale et je considère que le projet est terminé.

Depuis quelques temps, nous avons une imprimante 3D au bureau et l'idée de réaliser ce boitier selon ce procédé a germée. Hier midi, pendant ma pause déjeuner, j'ai conçu le modèle 3D avant de l'envoyer à l'imprimante. Quelques heures et quelques erreurs plus tard, j'avais mon boitier.

En essayant de rentrer le circuit dans le boitier, je me suis rendu compte que les marges que j'avais ajoutées pour le passage des composants n'étaient pas assez grandes. J'ai du agrandir chaque orifice par ponçage afin de pouvoir y passer les composants. La prochaine fois, je prendrai plus que 0.4mm de marge.

Modèle 3D de la télécommande

Si vous voulez vous y frotter, voici les fichiers nécessaires à l'impression :

Pour éviter l'étape de ponçage, il faut agrandir les trous dans les modèles fournis.

5 semaines

Non pas de vacances, quoique ça aurait été très apprécié, mais de couture. Comme chaque année durant la période estivale, ma mère part en vacances. Généralement, elle me prête son auto. Cette année, elle m'a prêté également une partie de son matériel de couture, dont sa machine à coudre. J'en ai donc profité pour mettre à profit ce prêt et pour enlever quelques éléments de ma liste de choses à faire.

Et je n'ai pas chômé !

Trousses

Trouse doublée

Depuis de nombreuses années, je voulais pouvoir ranger mon matériel d'origami car il trainait à différents endroits. Je me suis dit que tout mettre dans une grande trousse serait une bonne idée. Comme à mon habitude, je me suis documenté et j'ai trouvé cette vidéo qui explique correctement ce que je voulais obtenir. Je suis allé acheter le matériel qui me manquait dont une fermeture éclair de 40cm car je voulais une grande trousse.

Je n'ai pas eu de grosses difficultés lors de la réalisation et je suis assez satisfait du résultat obtenu. Je pense que les conseils prodigués par ma mère y sont pour quelque chose. Cependant, j'ai quand même fait quelques erreurs. La fermeture éclair de 40cm m'a donné une très [1] grande trousse et j'aurais du regarder plus attentivement la vidéo pour me rendre compte des dimensions [2]. J'ai oublié de mettre une boucle à une extrémité, ce qui gêne lors de la manipulation de la fermeture. J'ai également oublié de mettre du biais sur mes coutures intérieures. Malgré tout cela, je l'ai conservée et elle me sert maintenant à stocker mon matériel de couture.

Pour ne pas rester sur une demie réussite, je me suis empressé d'en faire une deuxième en faisant bien attention à ne pas reproduire les mêmes erreurs. J'ai maintenant une deuxième trousse similaire à la première mais qui corrige l'ensemble des points mentionnées un peu plus haut. Cette fois, c'est une réussite et je peux ranger tout mon matériel au même endroit.

Sacs à pain

Sacs à pain

Depuis quelques temps, nous avions un sac à baguette à la maison. C'est très pratique car ça évite de récupérer certains emballages lors de nos visites chez le boulanger. Le problème est que ce sac, comme son nom l'indique, ne peut contenir que des baguettes. Je me suis dit que ce serait bien d'avoir des sacs pour les autres formats de pain. Après quelques recherches, je suis tombé sur ce tutoriel qui explique particulièrement bien les différentes étapes de la fabrication.

Cette fois, aucune difficulté car la construction est très similaire à celle des trousses. Comme j'étais déjà bien rodé, j'ai fait ces deux sacs en un temps record [3] et en n'oubliant aucune étape.

Succès !

Pantalon de pêcheur

Pantalon de pécheur Thaïlandais

J'avais envie d'un pantalon léger pour relaxer à la maison. Je suis tombé sur ce modèle que je trouve vraiment intéressant mais il est un peu trop féminin à mon goût. Je suis donc parti à la recherche de pantalons similaires qui soit plus masculin ou unisexe. Après de nombreuses pages lues sur internet, je me suis arrêté sur le modèle traditionnel des pêcheurs Thaïlandais. C'est un modèle unisexe qui s'adapte à toutes les tailles. J'ai découvert que trouver des patrons de vêtements sur internet n'est pas chose aisée surtout pour un modèle originaire d'un pays dont je ne maîtrise pas la langue. D'ailleurs, les seuls modèles intéressant expliqués en anglais sont fournis pas des personnes en ayant acheté un et qui ont reproduit un patron à partir du modèle. Je me suis largement inspiré du modèle fourni dans ce document [4] car je n'ai modifié que la longueur. J'ai raccourci les jambes de 5cm et je pense que j'aurais pu raccourcir encore plus. Si j'en fait un autre, je supprimerai 15cm.

La partie délicate de ce modèle est la découpe des différents morceaux. Je me suis fait un modèle avec Inkscape pour tracer de manière optimale l'ensemble des éléments composant ce pantalon. Je me suis également fait un gabarit en carton pour pouvoir tracer précisément les arondis des jambes. Pour la couture, rien de très compliqué mais il faut faire attention lors du piquage de la couture circulaire.

Je suis vraiment satisfait du résultat bien qu'il soit loin d'être parfait. Ce qui ne m'empêche pas de le porter tout le temps. En effet, je n'ai pas surfilé les bords du tissu car sa finesse m'a posé des problèmes d'entraînement. Je pense qu'avec un autre pied j'aurais mieux réussi. J'ai également un pli indésirable car la partie supérieuse est légèrement plus grande que la partie inférieure. À mon avis, il faut changer l'ordre des opérations pour que cela n'arrive pas.

Je ferai mieux la prochaine fois !

Sac à magnésie

Sac à magnésie avec pochette invisible

Je voulais changer de sac car celui que j'avais n'est pas tout à fait adapté à mon usage. Ça fait 8 ans que je l'utilisais et la plus part du temps, il fonctionne très bien. Le léger soucis apparaît quand je le pose car il a un fond courbe. À chaque fois, il tombe sur le côté et laisse échapper de la magnésie. C'est particulièrement problématique lors de séances de bloc car je ne porte pas le sac.

Je me suis très largement inspiré du modèle présenté ici. J'ai un peu allongé le modèle pour avoir une hauteur de 20cm, je n'ai mis qu'un seul œillet et j'ai ajouté une poche avec une fermeture éclair cachée. Pour ça, j'ai suivi ces instructions et globalement, je m'en suis bien sorti.

Je suis très satisfait du résultat et la réaction de mon partenaire m'a fait particulièrement plaisir. Je l'ai testé en conditions réelles et il va falloir que je lui apporte de légères modifications pour qu'il soit parfaitement utilisable. Je n'ai mis qu'un seul passant mais je pense qu'un second pourra être utile.

Et le reste ?

En vrac, j'ai modifié un pantalon pour en faire une jupe, j'ai fait un autre sac pour stocker les tuiles de notre jeu préféré ainsi qu'une pelotte d'épingles et plusieurs torchons pour différents usages.

Sac à cordon pour les tuiles du jeu Carcassonne Jupe réalisée à partir d'une vieille paire jeans

Le café du matin

Savons au moût de café

Pour bien commencer la journée, rien de mieux qu'un bon café. Enfin, c'est ce que j'ai entendu dire car je ne bois que très rarement du café et encore plus rarement le matin. Du coup, j'ai profité de ma dernière scéance de saponification pour incorporer de la mouture d'expresso dans le mélange. À défaut de pouvoir le boire, je pourrai me laver avec.

J'avais des restes de plusieurs huiles provenant d'autres recette, j'ai donc fait un « touski » [1] dont voici la liste d'ingrédients :

  • 491 grammes de gras de bœuf

  • 59 grammes d'huile d'amande douce

  • 100 grammes d'huile de sésame

  • 200 grammes d'huile de tournesol

  • 150 grammes d'huile de coco

  • 330 grammes d'eau

  • 138.8 grammes de soude (NaOH)

  • 26 grammes d'huile essentielle de géranium

  • 1 cuillère à soupe de mouture de café

Rien de bien particulier à mentionner lors de la réalisation de ce savon mais je me suis rendu compte qu'il va falloir que je modifie ou améliore mon matériel. Mon moule commence à montrer de gros signes de fatigue et l'hélice de mon mélangeur ne tient pas en place. Il va falloir que je me bricole un autre moule et que je trouve comment fixer l'hélice correctement au pied du mélangeur.

Savons et autres

Savon pour le rasage et sceau 3D (raté)

Mon stock de savon à barbe commençait à vraiment être bas, du coup j'en ai refait samedi passé. Cette fois, je n'ai pas testé de nouvelle recette car je suis très satisfait de celle déjà utilisée [1].

J'ai essayé de ne pas reproduire les mêmes erreurs que la dernière fois mais j'avoue que le résultat est mitigé. Même si j'ai fait des progrès pour déterminer quand mouler les savons, je me suis fait surprendre par la vitesse de la trace du mélange choisi. C'est un peu mieux que la dernière fois car j'ai quand même réussi à égaliser le dessus mais ce n'est pas encore le résultat que je comptais avoir. Pour cette recette, j'ai essayé d'empêcher l'apparition de cendre de soude à la surface du savon en vaporisant de l'alcool. Je l'ai fait deux fois à quelques heures d'intervalle et il semble que ça fonctionne correctement.

Ensuite, changement de sujet, même si ça tourne toujours autour du savon. Ça fait plusieurs années que je réfléchi à me faire un sceau pour marquer mes savons. Je ne suis pas encore vraiment fixé sur le dessin de celui-ci mais hier, j'ai fait un premier test.

Depuis peu, nous avons une imprimande 3D au bureau et je me suis décidé à l'utiliser. J'ai donc conçu mon premier modèle en 3D que j'ai imprimé dans la foulée. Le résultat obtenu n'est vraiment pas adapté à ce que je veux faire et surtout je me rends compte que je ne l'ai pas imprimé dans le bon sens. Les bords du sceau ne sont pas nets car ils ont été les premiers éléments imprimés alors qu'ils auraient du être les derniers. En plus de cela, ils devraient avoir une arête fine plutôt qu'une plate, ce qui améliorera la pénétration dans la pâte de savon. En bref, il faut que je revois ma conception ainsi que mon impression.