- Au Petit Poucet → charcuteries
 - Érablière du Coeur Sucré → produits de l'érable biologiques
 - Gourmet Sauvage → produits sauvages
 - La Manufacture → gins
 - La Veillée → bières de microbrasserie
 - Miel de la Garde → miels biologiques
 - Pascal Le Boulanger → boulangerie
 - Tabarnasco → sauces piquantes
 - Tribe Kombucha → kombucha
 
Vous avez le choix du chemin à parcourir
Le chemin de Compostelle n’est pas un sentier unique. De nombreuses voies et tronçons existent avec des difficultés et des paysages différents. L’objectif final reste d’arriver jusqu’à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en une ou plusieurs étapes.
En Espagne, le premier chemin historique serait le Camino Primitivo (Chemin Primitif) partant d’Oviedo. Mais le chemin le plus populaire depuis le Moyen Âge est le Camino Francés (Chemin français) que presque deux tiers des pèlerins empruntent entièrement ou partiellement chaque année. Il est à noter que le Chemin portugais a attiré 21 % des marcheurs en 2019 et gagne de plus en plus en popularité.
Pour ma part, j’ai souhaité parcourir le Camino Francés pendant l’été 2019. C’est de celui-ci dont je vous parlerai.
Faut-il être catholique ou chrétien pour faire le chemin de Compostelle?
Les raisons de marcher jusqu’à Compostelle sont diverses. C’est pour cela qu’on dit que chacun fait « son chemin ». Diverses raisons poussent les pèlerins à s’engager dans ce voyage : pour réfléchir à sa vie, prendre du temps pour soi, faire un voyage différent (seul, au calme, lent), se questionner sur sa foi, marcher en mémoire d’une personne proche décédée, se prouver quelque chose, pour le défi sportif ou l’aspect culturel... La plupart du temps, on le fait même pour plusieurs raisons. D’après le bureau d’accueil des pèlerins, en 2019, seulement 11% des pèlerins l’ont parcouru pour des raisons uniquement sportives.
Personnellement, j’ai vu peu de démonstrations religieuses ostentatoires. L’esprit religieux est tout de même présent puisque les églises sur le chemin proposent des messes et des bénédictions pour les pèlerins.
Il faut savoir que les auberges de pèlerins sont ouvertes à tous les marcheurs dès lors qu’on présente sa credencial, son passeport du pèlerin.
Faut-il s’entrainer avant ?
Il n’y a pas besoin de s’entraîner spécifiquement avant le départ. L’entraînement se fait sur le chemin : les premiers jours correspondent à l’échauffement. Il est important de se ménager au départ pour s’habituer aux chaussures et au port du sac à dos. Il s’agit d’éviter les blessures aux genoux, chevilles, tendons d’Achille, dos et d'éviter les ampoules.
Personnellement, au bout d’une semaine, les douleurs musculaires et l’allure de grand-mère que j’avais à la fin de chaque journée se sont estompées. Mon corps s’est habitué à parcourir plus de 20-25 km par jour. Durant les deux premières semaines, presque chaque matin, j’avais un petit bobo musculaire, mais après une heure de marche, tout allait mieux.
Un truc qui m’a été super utile et que j’ai appris sur le chemin : la crème anti-inflammatoire Radio Salil, en vente dans les pharmacies espagnoles, est la plus efficace pour les douleurs musculaires. En plus, vous vous ferez des amis lorsque vous en donnerez aux autres!
Ne pensez pas manger sainement et rester sobre sur le chemin.
Étant donné que le chemin a une connotation plutôt spirituelle, l’objectif premier est rarement de se remettre en forme – même si cela peut être un objectif secondaire. Personnellement, j’ai gagné en endurance et jambes musclées, mais j’ai pris 2 kg !
Comment ? D’abord, le choix alimentaire n’est pas toujours très vaste dans les villages traversés. Souvent le seul qui s’offre à vous est la nourriture servie au bar du coin. Attendez-vous à manger des viennoiseries, des toasts, des sandwiches ou de la tortilla (omelette de pommes de terre) au déjeuner ou au dîner, ce que vous apprécierez certainement après les efforts physiques fournis. Vous trouverez aussi de temps en temps des épiceries ou des supermarchés, pour acheter des collations ou des aliments à cuisiner à l’auberge.
Si vous ne cuisinez pas le soir, vous mangerez souvent le menu du pèlerin, option la plus économique : riche en fritures, viande et crème glacée, tout cela arrosé de vin ou de bière. Ce n’est sans doute pas le régime le plus adapté au sportif, mais c’est convivial et salutaire pour le moral!
Par contre, sachez qu’être végane sur le chemin est un défi difficile. Il faudra quasiment tout préparer vous-même. L’Espagne est un pays qui aime la charcuterie et le fromage.
Traversez la Meseta!
La Meseta, c’est le haut plateau désertique d’environ 200 km entre Burgos et Léon. À en croire Internet et les forums, il semble que ce soit la partie la plus éprouvante physiquement et moralement, car les distances y sont longues, le paysage est plat et sec. Il est parfois recommandé de prendre un bus pour abréger ses souffrances… C’est bien dommage.
La Meseta représente environ 8 à 10 jours de marche. Les paysages désertiques sont beaux et changent un peu chaque jour. La lumière du matin ou du soir y est assez exceptionnelle, les petits villages de pierre, charmants. En plus, il y a parfois une piscine dans le village ou à l’auberge où vous vous arrêterez. Toutefois, au bout du cinquième ou sixième jour, je commençais à trouver le temps long et il faisait très chaud. C’est le temps de prévoir des départs à 5 h 30 – 6 h du matin à la frontale!
Ce tronçon permet l’introspection et c’est un peu pour cette raison qu’on fait le chemin, alors pourquoi faudrait-il ne pas le marcher?
Vous n’avez pas besoin d’un équipement de backpacking.
Sur le Camino Francés, de nombreuses auberges accueillent les pèlerins pour un prix modique, en général entre 6 et 12 euros. À ce prix-là, il est plus simple de se déplacer sans tente, réchaud, ni matelas qui pèsent lourd sur les épaules. De plus, il y a moins de campings que d’auberges. Il est certainement possible de faire du camping sauvage, mais pour un gain financier sans doute assez minime et un manque de confort notable.
Quel que soit votre mode d’hébergement, il faudra apporter votre sac de couchage ou drap de sac (selon la saison) et votre lampe frontale pour les départs à l’aube. Sinon, presque chaque pèlerin apporte avec lui un guide papier du chemin dans sa langue. Si vous voulez vous alléger, il suffit de télécharger l’application Buen Camino : on a toutes les informations nécessaires sous la main. Sinon, le parcours est bien indiqué par des flèches jaunes.
Les derniers jours avant l’arrivée à Saint-Jacques ne seront pas les plus agréables
Un conseil : ne marchez pas seulement les cinq derniers jours du Camino Francés pour dire que vous avez fait le chemin de Compostelle… En 2019, 27 % des pèlerins ont commencé à Sarria, ville à 111 km de Saint-Jacques-de-Compostelle (100 km étant la distance minimum à parcourir pour obtenir la Compostela). À cet endroit, on a l’impression que le chemin devient une autoroute entre les pèlerins qui débutent et la jonction du Camino Francés et del Norte.
L’atmosphère change : il y a des groupes assez bruyants, plutôt lents (quand on a déjà quelques semaines de marche à son actif), avec un équipement très amateur (espadrilles et sac 10 litres). Les boutiques et restaurants deviennent plus chers, les hébergements plus difficiles à trouver. Il faut donc ruser ou faire d’avance ses réservations.
Avec mes compagnons de voyage du moment, on a eu l’impression qu’on nous avait volé le chemin, apprivoisé dans le calme, jour après jour. Puis, on se réhabitue, on sème les néo-pèlerins et on finit ces derniers kilomètres en quatre jours plutôt qu’en cinq.
Si vous n'avez que quelques jours, une bonne option est de commencer le chemin plus loin et de le faire par étape, année après année, afin de vous imprégner des différents paysages et atmosphères. Vous pourrez aussi savourer chaque retour sur le chemin.
Prévoyez un peu plus de temps pour aller jusqu’au cap Finisterre (Fisterra) et/ ou à Muxia
Après les derniers jours de marche en mode autoroute et l’arrivée à Saint-Jacques-de-Compostelle, émouvante, mais aussi très touristique, on peut atteindre un dernier objectif à pied dans le calme et la sérénité : la borne du kilomètre zéro au bord de l’océan Atlantique au cap Finisterre, là où le pèlerin ne peut pas aller plus loin. C’est aussi à cet endroit que le pèlerin du Moyen Âge brûlait ses vêtements devenus haillons pour matérialiser le changement vers une nouvelle vie. Il est maintenant interdit de brûler des vêtements à cet endroit – cela ne veut pas dire que personne ne le fait !
Trois à cinq jours de plus et une centaine de kilomètres sont nécessaires pour atteindre la côte Atlantique. Plusieurs options s’offrent à vous : aller directement à Fisterra, puis continuer à Muxia ou le contraire.
Les paysages sont agréables : des forêts de pins et d’eucalyptus, des prés verts, des villages galiciens, des vues sur l’océan, des falaises, des plages et un peu de dénivelés. Le jeu en vaut la chandelle. C’est une façon de terminer l’aventure par un beau point final : profiter du coucher de soleil sur l’océan, se régaler de fruits de mer, se baigner dans l’eau froide et penser au beau défi que l’on vient d’accomplir!
Vous reviendrez avec des souvenirs, des amis et de belles connexions
J’ai débuté le Camino avec l’idée de passer du temps avec moi-même, sans attente, en me disant que je rencontrerai d’autres gens. Dès le deuxième jour de marche, je me suis liée avec une Italienne, puis une Américaine. Plus tard, avec d’autres Italiens, Espagnols, Allemands… Beaucoup de pèlerins le font seuls.
Les contacts se nouent facilement. Les conversations sont intéressantes, sans chichis et souvent en plusieurs langues. Comme on dort souvent en dortoir et que l’on suit le même trajet, on fait des plans pour partir à la même heure le lendemain matin, pour se retrouver au prochain bar ou cuisiner ensemble le soir. Selon le temps que chacun passe sur le chemin ou selon la vitesse de marche, on fait un bout de chemin ensemble, on se quitte, puis on se retrouve, parfois devant la cathédrale de Saint-Jacques. On a parfois l’impression de faire partie d’une grande famille internationale transgénérationnelle. C’est rassurant.
Le chemin de Compostelle vous fera vivre de beaux moments de connexion à la nature, à vous-même et à l’humanité. Pour moi, cela restera de beaux souvenirs où me réfugier pour penser que la vie et le monde sont beaux, et pour savoir que je suis capable d’atteindre des objectifs ! Et puis, on peut toujours faire un autre trajet. Je pense au Camino del Norte, plus exigeant physiquement, mais avec un contact à l’océan plus proche.
Le Chemin de Compostelle à travers l’histoire
Les origines de ce pèlerinage remontent au Moyen Âge. L’histoire dit qu’un ermite, au IXe siècle, guidé par une étoile mystérieuse, aurait retrouvé le tombeau de l’apôtre de Jésus, Jacques Le Majeur, dans ce lieu qui devint la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle, en Galice, au nord-ouest de l’Espagne.
Ce fut le début du pèlerinage de Compostelle, grand pèlerinage de la chrétienté médiévale, qui déclina au cours de l’histoire, avant de redevenir de plus en plus populaire au XXe siècle.
En 1972, le bureau d’accueil des pèlerins à Saint-Jacques-de-Compostelle dénombrait 67 pèlerins, 347 578 en 2019.
Ingrédients
- 125 g de farine de riz
 - 2 jaunes d’œufs
 - 165 g de beurre (à température ambiante)
 - 80 g de sucre glace
 - 80 g de poudre d'amande
 - 1 pincée sel
 
Instructions
- Mettez le beurre (mou ou ramolli à l’aide d’une fourchette), le sucre glace et la poudre d’amandes dans un bol et mélangez à l’aide d’un fouet jusqu’à homogénéisation.
 - Ajoutez les 2 jaunes d’œufs puis la farine de riz et la pincée de sel.
 - Fouettez pour obtenir une belle pâte homogène.
 - Enfournez à 180°C entre 30-40 minutes environ (suivant la taille) jusqu’à ce que le sablé soit bien doré.
 - Laissez refroidir.
 
Ingrédients
Pour la macération des fruits
- 30 g d'amandes , mondées et grossièrement hachées
 - 30 g de noisettes , pelées et grossièrement hachées
 - 30 g de noix , grossièrement hachées
 - 30 g d'écorce d'orange confite , hachée
 - 30 g de zeste de citron confit , haché
 - 50 g de pruneaux (dénoyautés), émincés
 - 2 cuillères à soupe de café instantané (dissout dans 1 cuillère à soupe d'eau chaude)
 - 2 cuillères à café d’extrait naturel de vanille
 - ¼ cuillère à café de clou de girofle moulu
 - ¼ cuillère à café de cannelle moulue
 - ¼ cuillère à café de noix de muscade râpée
 - ¼ cuillère à café de gingembre frais râpé
 - ½ cuillère à café de zeste d'orange
 - ½ cuillère à café de zeste de citron
 - 250 ml de rhum
 - 100 ml de vin rouge doux
 - 60 ml de mélasse noire
 
Pour le gâteau
- Fruits macérés précédemment préparés , égouttés
 - 175 g de beurre mou
 - ¼ cuillère à café de sel
 - 150 g de sucre en poudre
 - 6 oeufs
 - 500 g de farine , tamisée
 - 1 cuillère à café de levure chimique
 
Instructions
Macération des fruits
- Faire mariner le mélange au moins 15 jours avant le jour de la préparation.
 - Verser tous les ingrédients dans un récipient en verre pouvant être bien couvert. Déposer au réfrigérateur.
 - Remuer de temps en temps et ajouter du rhum et du vin si le mélange sèche.
 
Gâteau
- Environ 3 heures avant le début de la préparation du gâteau, sortir la macération des fruits du réfrigérateur et la réserver pour qu’elle atteigne la température ambiante.
 - Égoutter les fruits est réserver le liquide de macération.
 - Préchauffer le four à 190˚C.
 - Graisser et fariner un moule rond d'environ 25 cm de diamètre et 8 cm de profondeur, ou un moule rectangulaire d'environ 22 x 12 x 8 cm.
 - Dans le bol d'un batteur électrique, déposer le beurre et le sel et battre jusqu'à obtenir la consistance d’une crème.
 - Ajouter le sucre et continuer à battre pendant environ 5 minutes.
 - Ajouter les œufs un à un et battre pendant 5 minutes.
 - Séparément, mélanger la farine et la levure chimique.
 - À l’aide d’une spatule, incorporer alternativement un peu de farine et un peu de fruits macérés en remuant délicatement jusqu’à incorporation totale de la farine.
 - Bien mélanger et verser l’appareil dans le moule.
 - Enfourner et cuire au four pendant 50 minutes ou jusqu'à ce qu'un cure-dent soit inséré et en ressorte sec. Il pourrait être nécessaire de couvrir le moule à la fin pour que le gâteau ne brunisse pas trop.
 - Sortir le gâteau du four et le laisser reposer 5 minutes avant de le démouler sur une grille.
 - Arroser le gâteau du liquide de macération réservé avant de le déguster.
 
Ingrédients
- 250 g de farine de sarrasin
 - 250 g de miel (de fleurs)
 - 17,5 cl d’eau
 - 1 cuillerée à soupe de bicarbonate
 - 1 cuillerée à soupe poudre à lever
 - 3 cuillerées à café d’épices à pain d’épices
 - 100 g de compote de pommes
 - 50 g de yaourt végétal coco
 
Instructions
- Préchauffez le four à 180 °C.
 - Dans un saladier, mélangez ensemble la farine de sarrasin, le bicarbonate, la poudre à lever et les épices.
 - Dans une casserole, faites chauffer l'eau puis ajoutez le miel et remuez jusqu'à ce qu'il soit dilué.
 - Versez progressivement le miel dilué dans le mélange de farine tout en mélangeant de manière à obtenir une pâte bien homogène. Incorporez la compote de pommes et le yaourt. Versez dans un moule à cake huilé.
 - Baissez le four à 150 °C et enfournez pour environ 50 minutes si vous utilisez un moule à cake unique, ou 15 à 20 minutes pour des moules plus petits. Vérifiez que la lame d'un couteau ressort du gâteau sèche. Laissez refroidir puis démoulez.
 
Alberta
Ontario
- Art of Knife Making Level 1 | Fanshawe College
 - Blacksmith Class – Forge Your Own Knife, Axe or War Hammer - Breakaway Experiences
 - BLACKSMITHING AT VANS | vansblacksmithing
 - Bladesmith Training Courses - Sword and Knife Making | Winterborn Blades
 - Classes — TWO SMITHS
 - Contact
 - Ontario Bladesmith and Knife Making Courses and Classes
 - Training Courses in Blacksmithing, Bladesmithing,
 
Québec
Ingrédients
- 400 g + 75 g d'eau pour le bassinage
 - 450 g de farine de blé T65
 - 200 g de pépites de chocolat
 - 45 g de poudre de cacao
 - 20 g de sucre
 - 10 g de sel
 - 5 g de levure fraîche
 
Instructions
- 
Peser les ingrédients, et les rassembler dans la cuve du robot. J’ai ici pris l’habitude de commencer par verser l’eau de coulage plutôt que la farine, ce qui permet au mélange de se faire correctement sans avoir à aller gratter la farine au fond de la cuve.
Verser donc l’eau, ajouter le sucre et le sel, puis la farine et le cacao et finir par la levure. - 
Frasage de 4 minutes en première avec tous les ingrédients puis en 2ème jusqu’à ce que la pâte se décolle des bords de la cuve. La matière grasse contenu dans la poudre de cacao ne favorise pas le développement du réseau de gluten. Il faut ici bien veiller à laisser la pâte prendre de la force, ce qui demande un peu plus de temps que pour une pâte à pain classique. Je dois compter 10 à 15 minutes avec un KitchenAid. Si vous passez trop vite à la suite, la pâte sera vraiment coulante et sans force, et très difficile à travailler par la suite.
 - 
Quand la pâte forme une belle boule qui se décolle des bords de la cuve, ajouter l’eau de bassinage en 2 ou 3 fois, en laissant le temps à la pâte d’absorber l’eau entre chaque ajout.
Il ne reste qu’à incorporer les pépites de chocolat, et contrôler la température de la pâte qui doit être au alentours de 23°C. - 
Laisser pointer 1 heure à température ambiante, faire un rabat et placer au frigo jusqu’au lendemain.
 - 
Le lendemain, diviser en 6 pâtons de 200g environ et bouler la pâte encore figée par le froid. Laisser détendre une vingtaine de minutes avant de façonner en forme de petit bâtard. Replier le tiers supérieur, retourner le pâton et replier le tiers inférieur, souder les bords avec la paume de la main.
 - 
Ensuite il faut compter 1h de pousse avant d’inciser la pâte et de mettre au four. Préchauffer à 250°C une demi-heure avant la cuisson et enfourner 12 minutes.
 - 
Laisser refroidir sur une grille.
 
Très bon.
Par contre, en relisant la recette, je me suis rendu compte que je n'ai pas suivi les étapes à la lettre.
C'est probablement pour cela que j'ai eu du mal à mettre en forme mes pains.
Il va falloir que je teste à nouveau.
Remember: Kurt Vonnegut was 47
The Long Apprenticeship
At forty-seven, Kurt Vonnegut published Slaughterhouse-Five. He had been a struggling writer, a car salesman, a PR man at General Electric, and a failed playwright. He had seen war firsthand, lived through firebombs, raised six children (four of them adopted after his sister's death), and produced a shelf of novels that garnered little attention. Then suddenly, almost accidentally, he became one of the most important American voices of the twentieth century. When people recall Vonnegut now, they picture the wry, cigarette-smoking humanist, the man who wrote about time travel and Dresden and the strange species of Tralfamadorians. But in 1969, when Slaughterhouse-Five came out, he was not young, not new, and certainly not destined to succeed. He was forty-seven.
Why does this matter? Because we live in a culture obsessed with precocity. We valorize the twenty-two-year-old founder, the thirty-year-old Nobel laureate, the poet who dies before publishing her second book. To be forty-seven in America often feels like you are past your prime, coasting toward irrelevance. And yet Vonnegut’s story punctures this narrative. It raises the uncomfortable, thrilling question: how much can be done late, when everyone thinks the window has closed?
American culture has always been suspicious of age. Fitzgerald made it clear in This Side of Paradise - the whole point was to capture the fleeting brilliance of youth before it calcified into routine. The Beats chased a similar myth, a reckless vitality that had to burn out quickly. Silicon Valley today has its own catechism: Zuckerberg’s infamous line, “Young people are just smarter.” It’s the same fetish, rebranded.
But history doesn’t quite bear this out. Galileo was in his forties when he published his most radical works. Thomas Paine was forty when Common Sense reshaped political thought. Susan B. Anthony was fifty-two when she cast her first illegal vote. The assumption that genius peaks young has always been a convenient myth. It flatters the ambitious and terrifies the hesitant. It also blinds us to the fact that many of history’s breakthroughs came from people who had been around long enough to see patterns others missed.
Vonnegut is a particularly vivid example because he had already failed. He had written science fiction for pulp magazines, novels like Player Piano and The Sirens of Titan that earned him modest attention but little money. He was not a wunderkind. He was a midlist author, typing away between family obligations and day jobs. By the logic of our culture, he should have given up. Instead, he wrote the book that only someone with his scars, his age, and his accumulated oddities could have produced.
There is dignity in failure, especially prolonged failure. Consider Melville: forgotten after Moby-Dick, reduced to writing insurance reports, rediscovered decades later. Or Emily Dickinson, who failed in the most invisible way: unread in her lifetime, her poems quietly fermenting in a drawer. Vonnegut’s failures were of a different sort - his books did get published, but with disappointing results. He was a writer who could fill a shelf in a used bookstore, gathering dust beside more fashionable authors. But that experience mattered. Slaughterhouse-Five is not a young man’s book. Its humor is laced with bitterness, its form is fractured by time, and its philosophy is resigned rather than triumphant. Only someone who had seen things fall apart (repeatedly) could have written it.
And maybe this is why age can produce greatness. Youth thrives on conviction; age is forced into complexity. Vonnegut could not tell a clean story about Dresden. He knew memory was fractured, that trauma distorted time, that irony was the only language left. His narrative jumps back and forth through decades, between planets and battlefields; because that was the only way to be honest.
Middle age is rarely glamorous. Dante placed himself “midway in our life’s journey” in the dark wood, lost and confused. The Greeks had their crises too - Solon supposedly argued that you could not call a man happy until he died, because only the full arc could reveal whether fortune had spared him. At forty-seven, Vonnegut was in that territory. He had no assurance his career would matter. His books were not chart-toppers. He was supporting a sprawling family on uneven income. He had lived enough to know the absurdities of both war and corporate America. Out of that stew came Slaughterhouse-Five.
This matters; because middle age is often treated as decline, the moment when one’s creativity has been used up. Neuroscience papers are circulated to show how fluid intelligence peaks in your twenties, how mathematicians do their best work before thirty-five. But there is another kind of intelligence: crystallized, layered, associative. The ability to see connections across disciplines, to synthesize long experience into something new. Vonnegut’s novel is precisely that kind of synthesis: war memoir, science fiction, satire, elegy.
Vonnegut’s war had always haunted him. As a young soldier, he was captured in the Battle of the Bulge, held in Dresden, and survived the firebombing by hiding in a slaughterhouse basement. It took him decades to turn this into art.
Some traumas resist immediate rendering.
Primo Levi needed years before If This Is a Man could be written. Pat Barker’s Regeneration trilogy required the hindsight of the 1990s to reimagine the First World War. Vonnegut’s forty-seven-year-old self could finally write what his twenty-five-year-old self could only (and barely) endure.
Slaughterhouse-Five is not cathartic. It does not end with redemption. The famous refrain - “So it goes” - is less about acceptance or closure, than about repetition, about the endless cycle of death. The book offers no comfort, but it does offer recognition.
That recognition is the work of age.
Life, all this living, all this striving is a long apprenticeship that cannot be compressed. Some writers learn style and voice quickly; others take decades. Henry James distinguished between the “young genius” and the “late bloomer,” but suggested both paths were legitimate.
Vonnegut’s early books were uneven, witty but scattered. He had not yet found the tone that made him distinctive. By the time he reached Slaughterhouse-Five, he had rehearsed irony, satire, science fiction tropes, and autobiographical fragments enough times to finally bring them together. Forty-seven was not late; it was right on time.
Chartres was not built in a decade. The Parthenon was rebuilt multiple times. Sometimes greatness takes patience, not precocity.
Why does our culture cling to the idea that if you haven’t made it by thirty, you won’t? Part of it is economic: industries want to exploit youthful energy at low wages. Part of it is romantic: the myth of the prodigy is more cinematic than the tale of the slow grinder. But part of it may also be anxiety about mortality. To celebrate the late bloomer is to admit that our lives can change radically past middle age, which is destabilizing. If anything can happen at forty-seven, then perhaps we cannot measure ourselves against arbitrary deadlines.
Vonnegut mocked all deadlines. He wrote about time as non-linear, about events existing simultaneously. In Slaughterhouse-Five, Billy Pilgrim comes “unstuck in time.” That phrase could apply to Vonnegut himself: his career looked like a sequence of failures until it suddenly wasn’t.
We are all unstuck in time.
Our successes and failures do not unfold in neat order.
Sometimes they arrive decades late.
Remember: Kurt Vonnegut was forty-seven when he wrote his masterpiece. And this fact should unsettle us! It should challenge the myth that our best years are always early. It should remind us that the middle of life can be fertile, that failure can ripen into art, that age can distill experience into something no youth could mimic. To be forty-seven is not to be finished. It may, for some, be the very beginning.
Ingredients
- 3/4 Cup milk
 - 1 Cup flour
 - 1/2 teaspoon salt
 - 1 egg
 - 6 tablespoons margarine
 - 1/4 Cup sugar
 - 1 package dry yeast
 - 1/3 Cup flour
 
Instructions
- Warm 3/4 Cup milk and 6 Tablespoons margarine until margarine melts. Set aside to cool.
 - Mix 1 Cup flour, 1/4 Cup sugar, 1/2 teaspoon salt and 1 package dry yeast.
 - When milk-margarine mixture is cool enough to touch (need not be cold) add to dry ingredients and beat.
 - Add 1 egg, 1/3 Cup flour and beat again.
 - Add enough flour for dough (this is the hard part it will be very stiff for mixing), dump out of bowl and knead. (Keep adding a little flour as you knead as it becomes too sticky), about 10 minutes.
 - Put in greased bowl, cover with towel and set aside to double (usually about 1-1 1/2 hours). Then punch down and knead again. Shape into loaf and put in greased bread pan. Let double again. Bake in slow oven (325-350 degrees) about 30-45 minutes until brown.
 
Vraiment intéressant !
Ingrédients
- 100 g de farine de châtaigne
 - 100 g de farine de blé ou de seigle (ou de farine de riz pour une recette gluten Free)
 - 150 g de lait (soit 0,15 l)
 - 200 g de miel de châtaignier
 - 50 g de sucre roux
 - 60 g de beurre
 - 1 paquet de levure chimique
 - 2 à 3 cuillères à café de mélange d’épices
 - 100 g de fruits confits ou secs
 - 1 cuillère à café de vanille en poudre
 - 2 cuillères à café de bicarbonate alimentaire
 
Instructions
- Faites chauffer le lait avec le miel de châtaigne, le beurre et le sucre.
 - Dans un saladier, mélangez les deux farines, la levure, les épices (avec du miel de châtaigne, optez pour 2 cuillères à café !) et les fruits secs.
 - Incorporez le mélange liquide dans le saladier et mélangez le tout jusqu’à obtenir une pâte sans grumeaux.
 - Enfournez ensuite pour une heure à 155°C dans un four à chaleur tournante préalablement chauffé.
 - Sortir du four dès que la cuisson est terminée et laisser refroidir avant de démouler sur une grille.
 
Il est très bon, très moelleux. Malheureusement, les épices cachent trop le gout du miel et de la farine de chataigne.
INGRÉDIENTS
Pâte
- 70 g (1/2 tasse) de farine tout usage La Merveilleuse
 - 2,5 ml (1/2 c. à thé) de poudre à pâte
 - 0,5 ml (1/8 c. à thé) de sel
 - 110 g (1/2 tasse) de sucre de canne
 - 1 gros oeuf, battu (55 g)
 - 30 ml (2 c. à soupe) de margarine végétale, fondue
 - 30 ml (2 c. à soupe) de boisson végétale, au goût
 - 5 ml (1 c. à thé) d'essence de vanille
 
Garniture
- 240 g (3/4 tasse) de sirop d'érable
 - 55 g (1/4 tasse) de sucre de canne
 - 2 gros oeufs (110 g)
 - 35 g (1/4 tasse) de margarine végétale
 - 30 ml (2 c. à soupe) de farine tout usage La Merveilleuse
 - 2,5 ml (1/2 c. à thé) d'essence de vanille
 - 1 ml (1/4 c. à thé) de sel
 - 65 g (2/3 tasse) de pacanes, hachées
 
Instructions
Pâte
- Préchauffer le four à 150 °C (300 °F). Huiler un moule carré de 20 cm (8 po) et déposer un papier parchemin au fond.
 - Dans un bol, mélanger la farine, la poudre à pâte et le sel. Réserver.
 - Dans un moyen bol, combiner le sucre, l’œuf, la margarine, la boisson végétale et l’extrait de vanille. Mélanger le tout à l’aide d’une cuiller de bois jusqu’à ce que le mélange soit lisse et crémeux.
 - Ajouter le tiers des ingrédients secs à la fois en mélangeant entre chaque addition, jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène.
 - Répartir également la pâte dans le moule et placer sur la grille centrale du four afin de précuire pendant 15 minutes, sans plus. Retirer du four et réserver.
 
Garniture
- Verser le sirop d'érable dans une moyenne casserole, incorporer le sucre de canne et amener à ébullition. Laisser mijoter à feu doux pendant 5 minutes. Retirer du feu et laisser tiédir pendant 30 minutes puis préchauffer le four à 230 °C (450 °F).
 - Après le temps de repos du sirop d’érable, verser doucement les œufs sur le sirop en battant constamment à l'aide d'un batteur électrique.
 - Incorporer la margarine végétale, la farine, l'extrait de vanille et le sel et battre, toujours à l'aide d'un batteur électrique, jusqu'à l'obtention d'un mélange crémeux et onctueux (environ 3 à 4 minutes).
 - Verser sur la pâte pré-cuite et parsemer le dessus de pacanes.
 - Cuire sur la grille centrale du four préchauffé tel qu'indiqué au point 1 pendant 10 minutes. Baisser ensuite la température à 180 °C (350 °F) et poursuivre la cuisson pendant 15 à 20 minutes. Les carrés seront prêts lorsqu'ils seront bien dorés
 - Si la croûte semble manquer légèrement de cuisson mais que le dessus est bien cuit, simplement couvrir d'un papier parchemin pour les 5 dernières minutes de cuisson. Cela permettra à la croûte de bien cuire sans trop griller le dessus.
 - Laisser refroidir complètement avec de couper en carrés.